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Vincent Rouaix, Inetum : «Nous allons contribuer à la consolidation du marché des ESN»
Après le changement de nom survenu en 2020 (de GFI à Inetum), place au changement d’actionnaires.
Le fonds qatari Mannai Corporation QPSC compte céder sa participation, représentant 99% du capital de l’ESN en actions, à un groupe d’investisseurs mené par la société de gestion américaine Bain Capital Private Equity.
Annoncé le 18 janvier 2022, ce retrait marquerait la fin d’un chapitre de l’ESN qui avait démarré en 2015, année d’entrée de Mannai Corporation QPSC dans le capital de la société de services informatiques pour les entreprises.
Le montant officiel du transfert n’est pas communiqué mais la presse économique et financière parle d’une valorisation d’Inetum à 2,2 milliards d’euros.
Dans une interview accordée à Place de l’IT, le CEO Vincent Rouaix précise la portée des manœuvres autour d’Inetum et fait le point sur le développement du groupe, présent dans 26 pays avec 27 000 collaborateurs et qui a réalisé un chiffre d’affaires de 1,966 milliard d’euros en 2020.
– Dans quel contexte intervient ce changement capitalistique majeur pour Inetum?
– Ce changement d’actionnaire impacte-t-il le déroulement du nouveau plan Upscale 23 d’Inetum?
– Comment Inetum se porte-t-elle alors que la crise Covid-19 perdure?
– Comment intégrez-vous la cybersécurité dans l’offre Inetum? Elle semble se fondre dans les 6 activités et les 10 practice groups, sans traitement spécifique…
– Fin 2021, vous avez communiqué sur une attaque par ransomware qui a impacté Inetum. Quels enseignements tirez-vous de cet assaut?
– Les tendances “low code/no code” sont-elles majeures dans les offres et les activités de votre ESN?
– Sur le cloud dans le secteur public, êtes-vous à l’aise avec l’approche “cloud de confiance” édictée par le gouvernement?
– Quel regard portez-vous sur les débats publics liés au numérique pour l’élection présidentielle de 2022?