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Huawei ADN 3.5: le NaaS, un pas de plus vers le réseau autonome.
Troisième levier de l’évolution informatique vers l’automatisation des infrastructures après la puissance de calcul (compute) et le stockage, les réseaux souffrent encore de limitations pour passer à la phase de mise en œuvre de NaaS (Network as a Service ou réseaux en tant que service).
En parallèle, l’ensemble nécessite une approche globale du datacenter, intégrant convergence des réseaux (stockage, réseaux, HPC…) afin de juguler l’explosion des volumes, assurer la fluidité du trafic numérique tout en disposant d’une maîtrise permettant de proposer une performance optimale.
En l’état actuel, les réseaux de datacenters (ou DCN) favorisent ce type de déploiement rapide, et le NaaS peut les faire passer au niveau supérieur, vers les réseaux intelligents et autonomes.
Outre ses multiples équipements, Huawei se positionne aussi sur l’orchestration unifiée, globale et ouverte du réseau. Après avoir franchi une première étape avec ses technologies ADN L3 (Autonomous Driving Network ou réseaux autonomes), Huawei a annoncé fin 2021 l’Autonomous Driving Network L3.5 pour automatiser plus encore la gestion de la complexité des réseaux, jusqu’au multi-datacenters, au multicloud, y compris multi-fournisseurs.
L’article revient sur l’évolution vers les réseaux autonomes autour d’un Ethernet amélioré, et sur les six étapes vers l’automatisation des réseaux avec l’intelligence artificielle et le machine learning. Illustrations à l’appui.