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Nicolas Rouyer, Neo4J: «Les Ciso pensent en listes et les attaquants pensent en Graphes.»

Comme nous l’expliquions dans notre portrait de la licorne Neo4J, éditrice de la base de données orientée graphe éponyme, ces technologies savent gérer de gros volumes de données. Elles se montrent plus performantes encore sur le marché face à des environnements ou des modèles complexes.
Concernant les cas d’usage, on cite souvent les systèmes de recommandation, l’analyse de réseaux sociaux ou collaboratifs, la logistique… On évoque moins souvent la cybersécurité.
Pourtant, il s’agit bien de manier de très gros volumes d’informations en temps réel (logs, alertes, supervision, réseau, applications…) afin d’établir des relations et corrélations pour détecter des comportements suspects, des accès inhabituels, des actions anormales, des invocations douteuses…
Afin de comprendre pourquoi et comment une solution comme Neo4J peut contribuer à la sécurité d’un système d’information, Place de l’IT a rencontré Nicolas Rouyer, consultant avant-vente chez Neo4J. Ingénieur avant-vente depuis 3 ans chez l’éditeur, il consacre son temps à mettre en place des POC (Proof of concept, ou prototypes dynamiques de démonstration), et des formations dans divers secteurs d’activité.
L’occasion de revenir sur les basiques d’une base de données orientée graphe, illustrations à l’appui (GraphQL et GRAND stack sont aussi de la partie…).