jeudi , 12 décembre 2024

N-able Backup prône le fichier au détriment des images de VM

La filiale MSP de SolarWinds ouvre ses ailes et renoue avec les bénéfices. Eclairage sur sa technologie de backup avec Chris Groot, directeur de cette activité.
Chris Groot, directeur général de l’activité sauvegarde chez N-able
Chris Groot, directeur général de l’activité sauvegarde chez N-able

N-able propose son “Cloud first data protection as a Service” (qui s’appelle tout de même N-able Backup…) pour sauvegarder les serveurs, les postes de travail, ou encore les données cloud comme celles d’office 365. Cette application SaaS avec console d’administration web assure une sauvegarde direct-to-cloud, avec une éventuelle copie sécurisée en local.
Créée en 2000, N-able compte plus de 25 000 clients dans le monde. Néanmoins, elle reste inconnue de la plupart des professionnels, car elle s’adresse aux fournisseurs de services en ligne ou MSP (Managed Service Providers).
L’éditeur de solutions de supervision SolarWinds avait racheté N-able en mai 2013 pour 120 millions de dollars. En juin 2016, elle acquiert LogicNow et la fusionne avec N-able pour créer SolarWinds MSP. Fin juillet 2021, cette activité devient N-able entité indépendante et filiale proposant aux MSP avec une offre complète de RMM (Remote and Monitoring and Management). N-able a réalisé un chiffre d’affaires 2021 de 346,5 millions de dollars, en hausse de 14% par rapport à 2020.
Parmi ses clients, 12 000 MSP utilisent ses solutions de protection des données, à propos desquels Place de l’IT a pu échanger avec Chris Groot, directeur général de l’activité sauvegarde chez N-able.
Un éclairage intéressant sur des partis pris volontaristes et qui s’avèrent payants, comme le choix de privilégier la sauvegarde par fichiers plutôt que par images de machines virtuelles.

Rendre cet article en accès gratuit et visible par tous

500,00 HT

S’abonner pour accès illimité 1 an

250,00 HT

voir les détails

Acheter article à l’unité (format PDF)

10,00 HT

Ajouter au panier

Check Also

Didier Guillaume, ministre d'État de la Principauté de Monaco, et Philip Reitinger, CEO et président de la Global Cyber Alliance

Contenu restreint